Boney Fields & The Bone's Project

Rhino Jazz Jazzee 0

{{comments.length}} Chapitrage(s)

  • {{formatTimestamp(comment.timestamp)}} {{comment.content}}
    delete save cancel
You can skip this ad in 15 sec or switch to premium for a "no ads" experience. {{countDown}} seconds remaining
Skip ad

Vous pourriez aussi aimer

logo 4K
{{doc.forte}}

{{doc.title}}

{{doc.artistNames}} Premium

Du blues donc, de la soul et du R&B, mêlant les subtilités du jazz à l’énergie du rock, l’homme au chapeau rond peut s’appuyer sur la rythmique de dingue de son infernal septet pour produire des compos originales qui s’inscrivent au meilleur du répertoire funk. La section cuivre où l’on trouve notamment sa fidèle complice depuis vingt ans, la bretonne Nadège Dumas (dont les références vont de Mickaël Brecker à Maceo Parker en passant bien sûr par l’autre sax-woman de renom Candy Dulfer) n’a en effet rien à envier aux légendaires JB’Horns et autres Tower of Power. Autant dire de la très haute température que le maître de cérémonie distille à l’envi.
Fort d’une longue expérience acquise après deux décennies de tournées auprès des éminents bluesmen Buddy Guy, Albert Collins ou Little Milton, ayant enregistré avec Maceo Parker, Bootsy Collins ou George Clinton, Boney Fields s’est installé à Paris pour travailler ensuite avec Luther puis Bernard Allison, Alpha Blondy, Paco Sery, Lucky Peterson, Fred Wesley ou Liz McComb. Une prestigieuse carte de visite qui le place désormais sous son propre nom, en tant que trompettiste-chanteur et auteur-compositeur, parmi les plus grands de la black music actuelle. Du beau, du bon, du Boney !

Rhino Jazz

Depuis sa création en 1979, le Rhino Jazz(s) festival n’a de cesse de créer l’événement dans le monde des musiques de jazz(s). Toujours à l’affût des découvertes, il présenta notamment les premiers concerts de Paolo Conte, Michel Petrucciani, Stéphane Grappelli, Salif Keita, Ray Lema... Souhaitant développer chaque année une programmation d’envergure internationale tout en associant les futurs grands talents de demain, le Rhino Jazz(s) festival est un acteur privilégié des villes partenaires de l’événement, soit plus d’une trentaine basées sur trois départements : Loire, Rhône et Isère. Au sein de sa programmation toujours à la découverte des jazz(s) d’aujourd’hui, il fait aussi la part belle à une programmation jeune public audacieuse pour le plus grand plaisir des 3000 enfants associés aux concerts et ateliers initiés par le festival. Chaque année, de juillet à octobre, le festival donne le ton et le tempo en proposant plus d’une cinquantaine de concerts pour un public toujours au rendez-vous !

Pour sa 36e édition, le festival Rhino Jazz(s) "repointe" ses cornes en été du 27 juin au 12 juillet 2014. Et pour lancer sa programmation estivale, c’est à une soirée hautement festive que vous convie le Rhino avec Jazz à Vienne le vendredi 27 juin : un événement unique qui invite gratuitement chaque année près de 7000 festivaliers ! Le festival s’étend ensuite jusqu’au 12 juillet... Nouveaux lieux insolites et musiques tous azimuts, le Rhino promet son lot de surprises !

A l’automne 2014, le festival entre en scène du 2 au 19 octobre avec plus de 40 concerts entre Loire, Rhône et Isère ! Au programme de l’affiche 2014 : Gilberto Gil, Slow joe and the Ginger accident, Lottchen, Trilok Gurtu, Sandra Nkake, Mighty Mo rodgers, Shakura S’Aida, Lisa Simone (la fille de Nina !) Lou Tavano et bien d’autres ... Au total, plus de 250 musiciens explorant les quatre coins du jazz : new orleans, soul, swing, blues, jazz manouche, funk, world...

  • Château du Jarez, 11 rue Benoît Oriol 42400 SAINT CHAMOND France
  • web

Boney Fields

Dans la lignée des James Brown ou Earth Wind & Fire, le trompettiste-chanteur-auteur-compositeur Boney Fields est une véritable machine à groover ! Originaire de Chicago, sa carrière démarre dans les années 80 : il accompagnera notamment Albert Collins, Little Milton, James Cotton (dont il devient leader des cuivres puis de l’orchestre), Buddy Guy ou encore Lucky Peterson qui l’engage en 1993 en tant que leader et directeur musical de l'orchestre. Au milieu des années 90, il s’installe à Paris pour rejoindre le groupe de Luther Allison qu’il accompagne dans ses tournées européennes. A la mort de ce dernier, Boney Fields se met également au chant et décide de monter sa propre formation qui constitue aujourd’hui sa principale activité. Véritable showman et instrumentiste hors pair, il délivre avec son groupe une musique festive et offre une soirée résolument divertissante entre jazz, blues, soul et funk !

 

Votre réaction