Orchestre de Paris / Philip Glass

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Philip Glass: Concerto pour deux pianos et orchestre (création européenne)
Dmitri Chostakovitch: Symphonie nº 5 en ré mineur, op. 47

Katia Labèque, piano
Marielle Labèque , piano
Orchestre de Paris
Jaap van Zweden, direction

Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.

Katia et Marielle Labèque ont enregistré en 2013 les Four Movements for Two Pianos de Philip Glass. Elles poursuivent leur association avec le pionnier de la musique répétitive en donnant la création française de son Concerto pour deux pianos. En seconde partie du programme, la Cinquième Symphonie de Chostakovitch,

Ambassadrices de la musique contemporaine depuis leurs débuts, Katia et Marielle Labèque ont joué les œuvres de Berio, Messiaen, Boulez et Ligeti. Se passionnant pour le minimalisme et après avoir enregistré un sublime album, Minimalist Dream House, à l’occasion des 50 ans de ce mouvement musical, elles nous offrent aujourd’hui la création française du Concerto pour deux pianos de Philip Glass, compositeur dont l’œuvre se reconnait immédiatement par ses répétitions envoûtantes, son énergie sans faille. Cri de victoire et d’espoir pendant la sombre période stalinienne, la Cinquième Symphonie de Chostakovitch, également à ce programme, oscille entre tensions, angoisses et jubilation.

La Symphonie nº 5 en ré mineur, op. 47, de Dmitri Chostakovitch fut écrite en trois mois en 1937, et créée le 21 novembre de la même année à Léningrad sous la direction d’Evgeni Mravinski. C'est la symphonie la plus jouée et la plus enregistrée du compositeur.

Chostakovitch passa le printemps 1937 à Gaspra en Crimée, dans une maison de repos pour savants et artistes. Lorsqu'on demandait à Chostakovitch de se mettre au piano, il refusait net. Néanmoins, un des hôtes remarqua que tôt le matin, pendant que les autres dormaient encore, le compositeur « entrait prudemment dans la salle sur la pointe des pieds, ouvrait le piano et se mettait à jouer et à noter quelque chose sur du papier à musique ».

Chostakovitch avait terminé les trois premiers mouvements lorsqu'il rentra à Moscou en juin : il acheva son travail en écrivant le final.

Avec l’opus 47, Chostakovitch renoue avec la tradition qui va de Moussorgski à Miaskovski, en passant par Borodine et, surtout, Tchaïkovski. André Lishké indique : « Mais c’est aussi une œuvre autobiographique que traverse le drame vécu et surmonté par le compositeur, et qui se conclut par le cri final de victoire ou de défi. En pleine période des purges staliniennes, quand l’angoisse collective était à son apogée, la tension émotionnelle de la symphonie fut perçue par l’auditoire avec une acuité exceptionnelle. »

Elle servit d’outil de propagande à l’intention du public soviétique, puis international. Selon certains musicographes, les dires de Chostakovitch selon lesquels la symphonie est une « réponse pratique d’un artiste soviétique à de justes critiques », ou que le compositeur n’était pas content de sa Quatrième Symphonie et tenait à être compris du plus grand nombre – « Tout n’a pas été d’égale valeur dans mes œuvres précédentes. Il y a eu des échecs. Dans ma Cinquième Symphonie, je me suis efforcé à ce que l’auditeur soviétique ressente dans ma musique un effort en direction de l’intelligibilité et de la simplicité » – ne sont que des allégations de biographes commandités. Pour d’autres, la réalité tiendrait plus de ces propos : « La plupart de mes symphonies sont des monuments funéraires. Trop de gens, chez nous, ont péri on ne sait où. Et nul ne sait où ils sont enterrés. Même leurs proches ne le savent pas. Où peut-on leur ériger un monument ? Seule la musique peut le faire. Je leur dédie donc toute ma musique ».

La première de la symphonie eut lieu à la Philharmonie de Leningrad le 21 novembre 1937 par l'Orchestre philharmonique de Leningrad dirigé par Evgeni Mravinski. Elle bouleversa l'assistance à tel point que beaucoup pleuraient, réaction inhabituelle à une œuvre nouvelle.

Le 25 janvier 1938, le journal Vetcherniaia Moskva publie un article de Chostakovitch intitulé "Ma réponse d'artiste". On y trouve le passage où Chostakovitch dit que la Cinquième Symphonie serait « la réponse concrète et créative d'un artiste soviétique à une critique justifiée ». Cette définition est depuis longtemps passée sous silence en Union Soviétique, mais pour des raisons encore inconnues, on la considère en Occident comme le sous-titre officiel donné par l'auteur lui-même à sa symphonie.

Philharmonie de Paris

Dotée de plusieurs salles de concerts, d’un musée, d’une médiathèque et de nombreux espaces pédagogiques, la Philharmonie de Paris est un projet inédit.

La Philharmonie de Paris réunit un nouveau bâtiment conçu par Jean Nouvel (nommé Philharmonie 1) et l’actuelle Cité de la musique (désormais nommée Philharmonie 2), signée Christian de Portzamparc. Avec ses nombreux espaces, ses formations résidentes ou associées et un projet artistique innovant, elle constitue un pôle culturel unique au monde favorisant l’appropriation de la musique par les publics.

L’établissement propose un outil performant au service des formations symphoniques nationales et internationales, qui ne trouvaient pas à Paris d’équivalent aux grandes salles de concert modernes des capitales internationales. Au-delà du répertoire classique, sa programmation est ouverte aux musiques actuelles et aux musiques du monde, ainsi qu’à la danse.

La Philharmonie de Paris hérite par ailleurs d’une expérience de vingt ans en matière de pédagogie. Depuis son inauguration en 1995, la Cité de la musique a en effet déployé des activités destinées à tous, en veillant à une diversité de perspectives qui intègre les cultures extra-européennes ou les formes populaires. Le nouvel établissement poursuit tout en l’amplifiant cette politique d’éducation et de démocratisation culturelle.

Forte de ces richesses, la Philharmonie de Paris s’est donnée pour tâche de repenser la place du concert dans nos vies, l’intégrant au cœur d’un dispositif ouvert, favorisant toutes les formes d’appropriation éducatives ou ludiques. Située dans un Est parisien en plein développement, trait d’union entre la capitale et ses environs, elle se veut un lieu de rassemblement.

  • 221 Avenue Jean Jaurès, 75019 Paris France
  • web

Katia et Marielle Labèque

Katia et Marielle Labèque,  sont connues pour la fusion et l’énergie de leur duo.

Filles d’Ada Cecchi (élève de Marguerite Long), Katia et Marielle ont été dès l’enfance immergées dans la musique. Leurs ambitions musicales ont débuté très tôt et c’est leur interprétation contemporaine de Rhapsody in Blue de Gershwin (un des premiers disques d’or de la musique classique) qui leur a apporté la consécration internationale. Depuis lors, elles poursuivent une éblouissante carrière tout autour du monde.

Elles sont invitées régulièrement par les orchestres les plus prestigieux : Amsterdam Concertgebouw, Berlin Philharmonic, Bayerischer Rundfunk, Boston Symphony, Chicago Symphony, Cleveland Orchestra, Dresden Staatskapelle, Leipzig Gewandhaus, London Symphony, London Philharmonic, Los Angeles Philharmonic, Filarmonia della Scala, Philadelphia Orchestra, and Vienna Philharmonic, sous la direction de Semyon Bychkov, Lionel Bringuier, Sir Colin Davis, Gustavo Dudamel, Charles Dutoit, Sir John Eliot Gardiner, Miguel Harth-Bedoya, Kristian Jarvi, Paavo Jarvi, Zubin Mehta, Seiji Ozawa, Antonio Pappano, Georges Prêtre, Sir Simon Rattle, Esa-Pekka Salonen, Leonard Slatkin, Michael Tilson Thomas et Jaap van Zweden.

Elles se produisent sur des fortepianos avec des ensembles de musique baroque comme "The English Baroque Soloists" avec Sir John Eliot Gardiner, "Il Giardino Armonico" avec Giovanni Antonini, "Musica Antica" avec Reinhard Goebel et "Venice Baroque" avec Andrea Marcon. Elles ont récemment effectué une tournée européenne avec "Orchestra of the Age of Enlightenment" et Sir Simon Rattle . Leur prochain concert sur fortepianos Walter sera en mai 2016 au Theatre des Champs Elysées avec l’ensemble Pomo d’Oro.

Katia et Marielle ont le privilège de travailler avec de nombreux compositeurs de leur temps : Thomas Ades, Louis Andriessen, Luciano Berio, Philippe Boesmans, Pierre Boulez, Philip Glass, Osvaldo Golijov, György Ligeti, Olivier Messiaen.

Parmi les théâtres et les festivals prestigieux où elles se produisent, citons : Vienna Musikverein, Hamburg Musikhalle, Munich Philharmonie, Walt Disney Hall Los Angeles, Carnegie Hall New York, London Royal Festival Hall, La Scala, Berlin Philharmonie, Blossom, Hollywood Bowl, Lucerne, Ludwigsburg, Mostly Mozart, The BBC Proms, Ravinia, Ruhr, Tanglewood, Salzburg... Plus de 33.000 spectateurs ont assisté au concert de gala qu’elles ont donné pour la clôture du Berlin’s Waldbühnne avec l’Orchestre philharmonique de Berlin sous la baguette de Sir Simon Rattle  (disponible en DVD « EuroArts  »).

Pour leur propre label KML Recordings, elles ont récemment enregistré  " Sisters" qui rassemble des moments musicaux captés au cours de leur vie personnelle et professionnelle.

Au printemps 2016, sortira le DVD tiré du documentaire " The Labèque Way, lettre a Katia et Marielle d’Alessandro Baricco"produit par "El Deseo" (Pedro et Augustin Almodovar) et réalisé par Félix Cábez  Parmi leurs précédents CD, on trouve un album consacré à Gershwin et Bernstein et leur projet Minimalist Dream House ( 50 ans de musique minimaliste) inspiré des concerts organisés par La Monte Young en 1961 dans le loft new-yorkais de Yoko Ono.

Elles ont  créé la "Fondazione  KML" en 2005 dans le but de stimuler la création et développer le répertoire pour deux pianos grâce à la rencontre entre artistes d’horizons divers ( photo, video, littérature etc….)  . Elles ont construit un studio d’enregistrement afin de pouvoir accueillir aussi des artistes en residence et leur donner la possibilité de créer dans un lieu.

Elles ont présenté en avril 2015 un nouveau projet en collaboration avec le groupe UbuNoir autour de la musique de Moondog - une commande de King’s Place à Londres - dans le prolongement de leur travail sur les compositeurs minimalistes.

En mai 2015 elles ont présenté a la Philharmonie de Paris , le spectacle « Love  Stories » avec "Star- Cross’d Lovers" un ballet écrit par David Chalmin  pour deux pianos, guitare électrique et batterie, sur le thème de " Romeo et Juliette" de Shakespeare sur  une chorégraphie pour sept breakdancers créée par Yaman Okur (Madonna, Cirque du Soleil etc….) Ce spectacle sera repris en 2016 , en février a Bordeaux et juin au Theatre du Chatelet avant de partir en tournée en juillet et octobre.

Elles ont crée le concerto que  Philip Glass a écrit pour elles les 28 et 30 mai 2015, au Walt Disney Hall avec Los Angeles Philharmonic Orchestra sous la direction de Gustavo Dudamel.Elles ont feront la creation française a Paris les 9 et 10 mars avec l’Orchestre de Paris dirigé par Jaap van Zweden.

Jaap van Zweden

Né à Amsterdam, Jaap van Zweden est devenu en un peu plus d’une décennie l’un des chefs les plus recherchés. Il est directeur musical du Dallas Symphony Orchestra depuis 2008 et directeur musical du Hong Kong Philharmonic Orchestra depuis 2012.
Nommé à 19 ans le plus jeune violon solo du Royal Concertgebouw Orchestra depuis sa création, il commence sa carrière de chef en 1995 et occupe les postes de chef d’orchestre principal du Netherlands Symphony Orchestra (1996-2000), chef d’orchestre principal du Residentie Orchestra of The Hague (2000-2005). Premier chef du Flemish Philharmonic Orchestra (2008-2011) et chef d’orchestre et directeur artistique du Netherlands Radio Philharmonic Orchestra et du Radio Chamber Orchestras de 2005-2011.
Jaap van Zweden a été nommé Musical America Conductor de l’année 2012 en reconnaissance de son travail comme Directeur Musical du Dallas Symphony Orchestra et en tant que chef invité des plus prestigieux orchestres américains.

Jaap van Zweden est apparu comme chef invité de nombreux orchestres à travers le monde y compris le Chicago Symphony, Cleveland et Philadelphia Orchestra, l’Orchestre Philharmonique de Munich, WDR Symphony Orchestra de Cologne, l’Orchestre National de France, Orchestre Philharmonique d’Oslo, Rotterdam Philharmonic, le Royal Concertgebouw Orchestra et le London Philharmonic Orchestra. Mis à part un répertoire symphonique vaste, l’opéra joue également un rôle important dans la carrière de Maestro van Zweden : il a dirigé La Traviata et Fidelio, Madame Butterfly à l’Opéra des Pays-Bas et Otello de Verdi, Die Meistersinger de Wagner, Parsifal et Lohengrin au Concertgebouw avec le Netherlands Radio Philharmonic Orchestra.

Il a fait des débuts très remarqués avec le Philharmonique de Berlin, le Philharmonique de Vienne, le New York Philharmonic, la Tonhalle-Orchester de Zurich, le Chamber Orchestra of Europe et le Boston Philharmonic, le San Francisco Philharmonic et le London Philharmonic. Aux BBC Proms, il a dirigé la symphonie n°8 de Bruckner avec le Netherlands Radio Philharmonic Orchestra. Durant la saison 13/14, il organise avec le Chicago Symphony Orchestra un festival de 3 semaines basées sur la musique de Britten, Prokofiev et Chostakovitch intitulé « Truth to Power ». La saison 14/15 comprend une tournée en Europe avec le Hong Kong Philharmonic, ses débuts avec le Philharmonique d’Israël, avec l’Orchestre philharmonique tchèque et Budapest Festival Orchestra. Mais aussi avec le Cleveland et le Chicago Symphony Orchestras, l’Orchestre de Paris et le New York, le Rotterdam et le London Philharmonic Orchestras.

Avec le Dallas Symphony, Jaap Van Zweden a ouvert le SOLUNA « Musique International & Arts Festival » à Dallas en mai 2015, et a débuté un projet sur quatre ans avec le Hong Kong Philharmonic : il dirigera le cycle des 4 opéras Der Ring des Nibelungen de Wagner.

En 1997, Jaap van Zweden et son épouse Aaltje ont créé la Fondation Papageno, l’objectif étant de soutenir les familles avec un ou plusieurs enfants atteints d’autisme. Au fil des ans, ce soutien a pris forme sous un certain nombre de projets. La thérapie « Music Makers » où des thérapeutes et des musiciens professionnels reçoivent une formation supplémentaire de Papageno. Ils utilisent la musique et ont une pratique musicale avec des enfants autistes.

  • Chef d'orchestre
  • web

Orchestre de Paris

Héritier de la Société des concerts du Conservatoire fondée en 1828, l'Orchestre de Paris donne son concert inaugural en novembre 1967 sous la direction de Charles Munch. Après le décès de son père fondateur, la direction musicale de l'Orchestre sera confiée successivement à Herbert von Karajan, sir Georg Solti, Daniel Barenboim (qui dote l'orchestre d'un chœur amateur permanent en 1976), Semyon Bychkov, Christoph von Dohnányi et Christoph Eschenbach. Paavo Järvi est Directeur musical depuis la saison 2010/2011 et son contrat a été prolongé jusqu'en 2015/2016. L'Orchestre de Paris est actuellement en résidence à la Salle Pleyel.

TROIS SIÈCLES DE RÉPERTOIRE
L'orchestre inscrit son répertoire dans le droit fil de la tradition musicale française affirmée dès la Société des concerts du Conservatoire en jouant un rôle majeur au service du répertoire des XXe et XXIe siècles à travers l'accueil de compositeurs en résidence, la création de nombreuses œuvres (Xenakis, Berio, Dusapin, Dalbavie,Manoury, Saariaho, Stroppa, Takemitsu, etc.) et la présentation de cycles et de programmes exceptionnels consacrés aux figures tutélaires de la musique française du XXe siècle (Messiaen, Dutilleux, Boulez, etc.).

LE RAYONNEMENT INTERNATIONAL
En septembre 2012, l'orchestre s'est produit en Espagne sous la direction de Yoel Levi avec Jean-Frédéric Neuburger, puis au Festival de Prague sous la direction de Paavo Järvi. En novembre 2012, il sera en tournée en Allemagne et Suisse sous la baguette de son directeur musical avec Christian Tetzlaff et Andreas Haefliger et finira la saison au Festival d'Aix-en-Provence sous la direction d'Esa-Pekka Salonen dans Elektra. Invité régulier des grandes capitales musicales, l'Orchestre de Paris a tissé des liens privilégiés avec New York, Londres, Vienne, Berlin ou Amsterdam, les pays scandinaves, la Russie mais aussi avec les publics chinois, japonais et coréen qu'il a retrouvés en 2011 sous la direction de Paavo Järvi– pour sa quatorzième tournée en Extrême-Orient depuis le début des années 1970.

OUVERTURE À LA JEUNESSE
Avec le jeune public au cœur de ses priorités, l'orchestre diversifie ses activités pédagogiques (concerts éducatifs ou en famille, répétitions ouvertes, ateliers, classes en résidence, parcours de découvertes...) tout en élargissant son public (scolaires de la maternelle à l'université, familles...). Ainsi, au cours de la saison 2012/2013, les musiciens initieront près de 40 000 enfants à la musique symphonique.

UN PATRIMOINE BIEN VIVANT
La discographie de l'orchestre reflète les facettes variées de son activité. Le premier enregistrement sous la direction de Paavo Järvi, consacré à Bizet, est paru en 2010, et un autre consacré au Requiem de Fauré en septembre dernier, avec Matthias Goerne, Philippe Jaroussky, Éric Picard et le Chœur de l'Orchestre de Paris (Virgin Classics).
Afin de mettre à la disposition du plus grand nombre le talent de ses musiciens, l'orchestre a par ailleurs engagé un large développement de sa politique audiovisuelle en nouant de forts partenariats avec Radio Classique, Arte et Mezzo. L'Orchestre de Paris et ses 119 musiciens, soutenus par le Ministère de la Culture et la Mairie de Paris, donneront plus d'une centaine de concerts cette saison dont une soixantaine à la Salle Pleyel en tant qu'orchestre résident.
Les musiciens de l'Orchestre de Paris sont habillés par la maison Jean-Louis Scherrer.
L’Orchestre de Paris bénéficie du soutien d’Eurogroup Consulting, mécène principal, de la Caisse d’Épargne Île-de-France, mécène des actions jeune public, et du Cercle de l’Orchestre de Paris.

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