Alexei Volodin / Valery Gergiev

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Nikolaï Rimski-Korsakov: Suite du Coq d'Or
Frédéric Chopin: Concerto pour piano n°1 en mi mineur, op. 11
Frédéric Chopin: Concerto pour pour piano n°2 en fa mineur, op. 21
Nikolaï Rimski-Korsakov: Suite du Conte du Tsar Saltan op. 57

Alexeï Volodin (piano)
Orchestre du Théâtre du Mariinski
Valery Gergiev (direction)

 

Le Coq d'or (en russe : Золотой Петушок) est un opéra en trois actes de Nikolai Rimski-Korsakov. Vladimir I. Bielski en a composé le livret intégral, d'après le conte en vers de Pouchkine Le Coq d'or. La création du dernier opéra de Rimski-Korsakov eut lieu le 24 octobre 1909 à Moscou au théâtre Solodovnikov, sous la direction d'Emil Cooper.

Les intentions satiriques du compositeur envers le tsarisme sont indiscutables : cet opéra, composé une dizaine d'années avant la révolution de février 1917, montre que Rimski sentait venir l'orage. La censure en interdit la représentation du vivant du compositeur.

Vladimir Pikok a chanté le rôle de l'astrologue dans la première de l'opéra. Le rôle difficile est écrit pour un ténor contraltino car l'astrologue est un eunuque (1909).

    le tsar Dodon (basse)
    le tsarévitch Aphron (baryton)
    le tsarévitch Gvidon (ténor)
    l'Astrologue (ténor)
    Polkan (basse)
    la reine de Chemakha (soprano)
    Amelfa (alto)
    la voix du Coq d'or (soprano)

La suite symphonique

De cet opéra, symphoniquement très riche, a été tirée, après la mort du compositeur, une suite en quatre mouvements dont la première audition a eu lieu en 1913 :

    le tsar Dodon dans son palais (regroupe l'introduction de l'ouvrage et scènes du 1er acte comme l'apparition de l'astrologue)
    le tsar Dodon sur le champ de bataille (début du 2e acte)
    le tsar Dodon et la reine Chemakha (principalement la danse de la reine)
    la noce et la fin pitoyable de Dodon (début du 3e acte, marche nuptiale et mort du tsar tué par le Coq)
 

Le Concerto pour piano no 1 en mi mineur, op. 11 de Frédéric Chopin, est un Concerto pour piano composé en 1830.

Le compositeur en donne la création le 11 octobre 1830 à Varsovie, au Théâtre national, lors de son concert d'adieu. En effet, il quitte dans les jours qui suivent la ville pour Vienne. Le concert ne suscite pas dans la presse polonaise des réactions aussi enthousiastes que pour son Concerto pour piano no 2, car elle est déjà préoccupée par l'effervescence révolutionnaire qui régnait dans la capitale : la Pologne se révoltera contre la domination russe quelques semaines plus tard, le 29 novembre 1830. Chopin ne reverra plus jamais son pays natal.

Ce concerto est, contrairement à ce que semble indiquer son titre, chronologiquement le deuxième du compositeur, le Concerto en fa mineur, opus 21, ayant été composé un an avant, en 1829. La raison de cette inversion chronologique n'est pas très claire ; il semble que Chopin, qui a emporté avec lui les deux partitions dans son voyage, les ait proposées toutes les deux à un éditeur quand il s'établit à Paris, mais que seul l'opus 11 fut sélectionné et édité dans un premier temps, en 1833, en raison de la difficulté de l'opus 21 (chronologiquement le premier), qui ne se prête pas à l'« usage domestique » des pianistes amateurs.

L'œuvre est dédiée à Friedrich Wilhelm Kalkbrenner, ami du jeune compositeur à Paris.

Ce concerto comporte trois mouvements :

    Allegro maestoso
    Romance : Larghetto
    Rondeau : Vivace

 

Le Concerto pour piano n° 2 en fa mineur, opus 21, de Frédéric Chopin, est un concerto composé en 1829.

Bien que son intitulé le désigne comme le second concerto, il est chronologiquement le premier concerto pour piano et orchestre qu'ait écrit Chopin.

Le compositeur en donne la création publique lors d'un concert à Varsovie au Théâtre national le 17 mars 1830 sous la direction de Karol Kurpinski, au cours d'un programme qui inclut également la Fantaisie en la majeur sur des thèmes polonais. Rejouée quelques jours plus tard, le 22 mars, avec le Rondo à la Krakowiak, l'œuvre est saluée par la presse varsovienne. Le Kurier Warszawski écrit: « Près de neuf cents personnes sont de nouveau venues hier au deuxième concert de M. Chopin. Le virtuose a été salué par une tempête d'applaudissements. »

Chopin confie dans une lettre du 3 octobre 1829 à son ami Tytus Woyciechowski tout son amour pour Konstancja Gładkowska, jeune chanteuse varsovienne, idéal « en souvenir duquel [il a écrit] l'adagio de [son] concerto (en fa mineur) ».

Quand la partition sera finalement éditée en 1836, trois ans après l'édition du Premier Concerto pour piano, Chopin dédie l'œuvre à la comtesse Delphine Potocka.

Le concerto est en trois mouvements :

    Maestoso
    Larghetto
    Allegro vivace

 

Le Conte du tsar Saltan (russe : Сказка о царе Салтане, Skazka o Tsare Saltane) est un opéra fantastique de Nikolai Rimski-Korsakov en quatre actes avec un prologue et sept scènes. Le livret, écrit par Vladimir Bielski, est basé sur un poème éponyme de 1831 d'Alexandre Pouchkine. La musique a été composée en 1899/1900 pour le centième anniversaire de la naissance du poète.

L'opéra, dont le titre complet autant du poème est : « Le conte du tsar Saltan, de son fils, glorieux et puissant preux le prince Gvidone Saltanovitch et de la très belle princesse cygne » fut représenté pour la première fois au théâtre Solodovnikov de Moscou le 3 novembre 1900, sous la direction du compositeur et de Mikhaïl Ippolitov-Ivanov, dans des décors du peintre Mikhaïl Vroubel. L'œuvre est resté notoire grâce à l'interlude orchestral du troisième acte : Le Vol du bourdon.

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

Théâtre Mariinsky

Le théâtre Mariinsky, aussi appelé théâtre Marie (en russe : Мариинский театр, de 1935 à 1992 appelé le Kirov), est une salle de spectacle de Saint-Pétersbourg en Russie, ainsi qu'une compagnie d’opéra, de ballet et de concerts.

Le théâtre a été construit comme l'un des théâtres de la troupe impériale. La troupe impériale de Saint-Pétersbourg a utilisé plusieurs théâtres : le théâtre de l'Ermitage (à partir de 1785), le théâtre impérial au Palais de Gatchina (depuis Paul Ier, à la fin du XVIIIe siècle, le théâtre Bolchoï Kamenny (1784-1886), le théâtre Alexandra (à partir de 1832, ensuite le théâtre est devenu dramatique), le théâtre Michel (à partir de 1833), le Théâtre-cirque (à partir de 1849).

Les mêmes acteurs ont travaillé sur toutes les scènes de ces théâtres, mais les orchestres étaient attachés à chaque théâtre.

Le Théâtre-cirque a brûlé en 1859, et à sa place on a construit un nouveau théâtre qui a reçu le nom de Mariinsky.

Le théâtre Mariinsky a été construit en 1860 par Alberto Cavos dans un style « Renaissance baroque » et nommé en hommage à Marie Alexandrovna, femme de l'empereur Alexandre II. Le théâtre fut ouvert au public le 2 octobre 1860 pour une représentation de l'opéra de Mikhaïl Glinka, Une vie pour le tsar.

Bientôt, il a été décidé de donner au théâtre de l'opéra, et un peu plus tard, à partir de Marius Petipa en 1870, de le consacrer aussi à des ballets. Le théâtre Mariinsky est devenu le théâtre d'opéra et de ballet. C'est là qu'eurent lieu les premières de nombreux opéras russes : Tchaïkovski, Rubinstein, Moussorgski, Borodine, Rimski-Korsakov, etc. C'est là que chantaient Fédor Chaliapine ou Sobinov3.

La salle a été construite sur la base d'une salle de spectacle existante qui abritait un cirque. Les architectes ont transformé la piste en parterre, modifié en profondeur les gradins et loges existantes, et supprimé une partie de ceux-ci pour construire une scène. De ce fait, la salle a une forme très originale, particulièrement large, qui conserve toutefois l'allure générale d'une salle à l'italienne en « U ». De fait, aucune scène au monde n'avait une telle largeur au moment où le Mariinsky a été construit[réf. souhaitée].

Petite cause, grands effets : très vite, les chorégraphes se sont rendu compte que cette largeur rendait caducs les formats d'occupation de scène qu'ils utilisaient jusqu'alors. Les chorégraphies traditionnelles semblaient vite ridicules au milieu de cette scène immense. Il a donc fallu inventer une nouvelle façon de penser l'occupation de la scène, ce qui provoqua une mutation profonde dans les chorégraphies.
Heures de gloire

Si le Mariinsky a toujours été constitué d'un doublet « lyrique plus danse », c'est surtout par son corps de ballet que le Mariinsky construisit sa réputation[réf. nécessaire], notamment sous l'impulsion de Marius Petipa, qui y créa plusieurs dizaines de chorégraphies, dont beaucoup sont encore dansées aujourd'hui.

La fin du XIXe siècle marque l'âge d'or de la compagnie, qui « invente » le ballet « à la russe », caractérisé par le spectaculaire et la durée des ballets, souvent supérieure à deux heures. Le Mariinsky est alors la référence mondiale de la danse[réf. souhaitée].

Toutefois, le corps de ballet reste une référence mondiale. Ainsi, l'orientation très moderniste prise par Michel Fokine, directeur du théâtre au début du XXe siècle, donnera naissance aux fameux Ballets russes, qui ne sont rien d'autre que le nom pris par la troupe du Mariinsky lors de ses premières tournées.

Ces tournées, organisées par Serge Diaghilev, présentent au monde entier les grands talents du Mariinsky de l'époque, et notamment Vaslav Nijinsky. Le triomphe des Ballets russes donne des idées d'indépendance aux vedettes de la troupe, qui quittent le corps de ballet officiel, tel Nijinsky qui rejoint à temps plein le projet de Diaghilev avant de fonder sa propre compagnie privée à Londres.

Quelques années plus tard, la Révolution russe provoque le déclin du Mariinsky, qui ne retrouva jamais son prestige, malgré la qualité jamais démentie de son école de danse.

Après la révolution de 1917, le théâtre a cessé d'être impérial et a acquis le statut d'auto-organisation. En 1920 il est rénommé en Théâtre d’État de l’opéra et ballet (en russe ГАТОБ ― GATOB) et en 1935, peu de temps après l’assassinat de Sergueï Kirov, chef communiste de Léningrad, son nom est attribué au théâtre. Le nom originel est restauré en 1992.

Les opéras des compositeurs étrangers ont été représentés plus souvent au Mariinsky que dans les autres théâtres musicaux du pays. En particulier, les années 1920 ont vu les premières sovietiques de Salomé (1924), Der ferne Klang (1925), Wozzeck (1927) et Rosenkavalier (1928). Vers le début des années 1930 le Mariinsky est à l’ombre du Théâtre Bolchoï, qui devient maintenant le théâtre de la cour protégé par les chefs communistes du pays. Les deux chef talentueux, Ari Pazovski et puis Boris Khaïkine sont déménagés à Moscou et y travaillent au Bolchoï.

Ainsi, tout au long du XXe siècle, le Mariinsky perd de son aura et a du mal à retenir les élèves qu'il forme, tels Rudolf Noureev, Natalia Makarova ou Mikhaïl Barychnikov. Certains choisissent de « trahir » pour rejoindre le Théâtre Bolchoï de Moscou (le rival historique, plus apprécié des autorités communistes que le Kirov du Léningrad d'alors). D'autres émigrent et quittent l'URSS pour vivre en Occident.

Le nouvel essor du Mariinsky commence à la fin des années 1980. En 1988 Valeri Guerguiev en devient chef principal, c’est à lui qu’on doit les festivals d’opéra consacrés à Modeste Moussorgski (1989), Piotr Tchaïkovski (1990), Sergueï Prokofiev (1991) et Nikolaï Rimski-

Depuis la fin du régime communiste, le Mariinsky cherche à se moderniser à grande vitesse pour conserver son rang et empêcher la fuite de ses vedettes, attirées par les salaires et les conditions de travail que leur proposent les grandes troupes occidentales.

Le changement est en route, et le directeur actuel du Théâtre, Valery Gergiev, chef d'orchestre mondialement connu, se bat pour rétablir le Mariinsky parmi les meilleures scènes du monde.

De fait, la renaissance du Mariinsky se fait essentiellement aujourd'hui par le lyrique grâce à la personnalité de Valery Gerguev. Il est notamment à l'origine du festival des Nuits blanches de Saint-Pétersbourg, qui devient d'année en année un événement de plus en plus remarqué dans le monde artistique et qui rencontre un très grand succès auprès du public international.

Sur le plan architectural, les projets du Mariinsky sont immenses et à la hauteur des ambitions artistiques : construction de deux salles neuves supplémentaires, dont une dédiée aux concerts. Ces projets ont été confiés à deux cabinets d'architectes français (Fabre & Speller, Dominique Perrault), à la suite de concours internationaux.

Du point de vue de la danse, on assiste également à l'émergence d'une nouvelle génération de ballerines, telles Evguenia Obraztsova, Viktoria Terechkina et Alina Somova, dans la droite ligne des étoiles de la compagnie : Ouliana Lopatkina, Diana Vichneva. Le rayonnement de la danse russe retrouve ainsi une ampleur internationale, les danseurs de la compagnie - comme les chorégraphes - étant invités aux quatre coins du monde notamment France, Italie, États-Unis et Japon).

 

  • Teatralnaya square, 1, Saint-Pétersbourg, 190000
  • web

Alexei Volodin

Né en 1977 à Saint Pétersbourg, Alexei Volodine a suivi dès l'âge de 10 ans des cours à l'Académie de musique Gnessine de Moscou, d'abord auprès de I. Chaklina, puis de T. Zelikman. A 17 ans, il poursuit sa formation auprès d'Elisso Virsaladzé au Conservatoire de Moscou. En 2003, il obtient le 1er prix du 9è Concours Géza Anda à Zurich qui lui permet de percer.  

Il fait partie des pianistes les plus remarquables de sa génération. La presse internationale lui reconnaît une technique époustouflante, ainsi qu'un répertoire très vaste et le qualifie d'envoûtant magicien des tonalités et d'interprète de premier plan.

Alexei Volodine s'est produit auprès de prestigieux orchestres parmi lesquels l'Orchestre symphonique de Londres, le Philharmonique de New York, l'Orchestre symphonique de la Bayerische Rundfunk, le Gewandhausorchester Leipzig, l'Orchestre symphonique du Théâtre Mariinsky, l'Orchestre national de Russie, le Philharmonique de Saint-Pétersbourg, le Philharmonique du Théâtre à la Scala, l'Orchestre National de France, l'Orchestre de la Suisse Romande, l'Orchestre symhonique NHK, l'Orchestre Philharmonique des Pays-Bas, le Wiener Symphoniker, les deux orchestres symphoniques de la SWR et l'Orchestre de la Tonhalle de Zurich sous la direction de chefs tels que Valery Gergiev, Lorin Maazel, Riccardo Chailly, Mikhail Pletnev, Semyon Bychkov, Marek Janowski, Zoltán Kocsis, David Zinman, Sebastian Weigle, Gerd Albrecht, Yakov Kreizberg, Tugan Sokhiev et Vladimir Fedoseyev.

Volodine est un récitaliste très demandé. Il participe régulièrement aux festivals d'envergure et a notamment joué au Concertgebouw Amsterdam (Meesterpianisten) et Suntory Hall Tokyo (World Pianist), à Lucerne (KKL), à Vienne (Konzerthaus et Theater an der Wien), New York (Metropolitan Museum), Madrid (Auditorio Nacional), Barcelone (Palau de la Musica), Paris (Théâtre des Champs-Elysées et Salle Pleyel), Stuttgart (Meisterpianisten), Francfort (Alte Oper), Lisbonne (Gulbenkian), Budapest (Académie Liszt), Zurich (Tonhalle Grande Salle) et Bruxelles (Bozar).

En 2009, Alexei Volodine a été nommé premier "artiste du mois" de la nouvelle salle de concert Mariinsky à Saint-Pétersbourg par Valery Gergiev, avec lequel il a entrepris des tournées aux Etats-Unis, au Japon, en Allemagne et en Espagne. Il a été invité à de nombreux festivals: Lucerne, La Roque d'Anthéron, Toulouse, Montpellier, Nantes, Sintra, Ruhr, Heidelberg, Bad Kissingen, Bad Reichenhall, Lichtfield, Meran, Moscou et Saint-Pétersbourg (Nuits blanches).

En 2013, ses engagements l'amèneront à Londres (Wigmore Hall), à Paris (Salle Pleyel), à Berlin (Philharmonie), à Budapest (Liszt Academie), à Amsterdam (Concertgebouw) et à Bruxelles (Bozar).

Des oeuvres de Beethoven, Chopin, Rachmaninov et Prokofiev ont été enregistrées chez "Live Classics". Il a, maintenant, conclu un contrat avec le label Challenge Classic; trois CDs sont parus avec des oeuvres de Chopin, Rachmaninov, Schumann, Ravel et Scriabine.

Valery Gergiev

Valery Gergiev est un des chefs d’orchestre les plus charismatiques de notre époque. Initié à la musique par le piano, il étudie la direction d’orchestre au Conservatoire de Léningrad (Saint-Pétersbourg) dans la classe du célèbre pédagogue Ilya Musin. Après un début sur la scène de l’Opéra Kirov (aujourd’hui le Théâtre Mariinsky), il y est nommé chef assistant de Yuri Temirkanov, et peu après il débute une carrière internationale qui prend rapidement son envol et le mène sur les scènes les plus prestigieuses, de Londres à New York, en passant par Vienne et Paris.

Depuis 1988, alors âgé de seulement 35 ans, il est à la tête du Théâtre Mariinsky, dont il a considérablement élargi et modernisé le répertoire : les classiques du répertoire lyrique (Mozart, Verdi, Puccini, Richard Strauss, Britten) côtoient les créations et les grandes pages du répertoire russe (Moussorgski, Tchaïkovski, Chostakovich, Prokofiev), sans oublier les compositeurs incontournables du XXe siècle (Messiaen, Dutilleux, Gubaidulina ou Giya Kancheli).

Valery Gergiev continue à diriger plus de 200 concerts par an, ainsi que des festivals en Russie et ailleurs (Stars des Nuits blanches de Saint-Pétersbourg), participe aux jurys de différents concours et s’engage auprès des jeunes interprètes et compositeurs. Très exposé médiatiquement, il a été nommé Artiste de l’UNESCO pour la paix, a pris position dans des conflits politiques (le conflit entre la Russie et l’Ossétie du Sud), mais s’est également impliqué dans différents projets à vocation sociale liés à la musique (Building on Excellence: Orchestras for the 21st century au Royaume-Uni). Il a reçu de nombreuses récompenses pour l’ensemble de sa carrière.

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