Dirty Deep / Etoiles du Blues

Etoile Royale Jazzee 0

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Dirty Deep laboure un blues marécageux, gras, allant parfois vers la folk ou le rock. « One man band » depuis début 2010, il parcourt les routes pour tenter de répandre sa religion. Une musique ? Mais pas seulement : surtout un mode de vie ! Sections rythmiques faites maison, harmonica et chant sont ses moyens de rédemption. Dirty Deep est influencé par les maîtres du style comme Sonny Boy Williamson II, John Lee Hooker, Son House mais aussi par des artistes plus récents comme Scott H Biram, Left Lane Cruiser, Mark Porkshop Holders. Après la sortie de son premier album « Back To The Roots », il part en tournée ; road trip qui sera un peu sa transaction avec le diable. En effet il rencontre quelques une de ses idoles au « Blues, Rock, Folk Festival » de Binic, lui permettant de s’imprégner du savoir de ses références dans le milieu blues.
Aujourd’hui Dirty Deep se mue sur scène en duo avec le batteur du groupe de Hip-Hop « Art District », Geoffroy Sourp, pour une explosion scénique sans pareil.

Etoile Royale

Le théâtre à l’Etoile Royale est une histoire récente. Il s’agit de coïncidences, comme c’est le cas pour toutes les histoires.
Cette salle existait déjà depuis plusieurs années, à l’initiative de M. Gérard Pelisson qui en a fait un lieu de découverte et de captation de concerts jazz et blues de grande qualité.
Un jour, l’information parvient à mon oreille qu’on pourrait proposer à ce producteur d’utiliser la salle pour du théâtre.
Cela éveille, dans cette oreille attentive, de vieux souvenirs de jeunesse, des rêves brisés, des envies inassouvies ! La réflexion est très rapide : un tour d’horizon pour rassurer son idée. Aude Carpintieri accepterait de mettre sa jeune Compagnie en résidence à l’Etoile Royale ; Pierre Bianco, homme de théâtre à la renommée indiscutable, accepte de jouer l’aventure en mettant en scène « La Nuit des Reines » de Michel Heim et Jean Noël Cuenod, brillantissime journaliste, écrivain, poète et… sincère ami de Giorgio se lance dans une présentation drôle et enthousiaste. Car il faut de l’enthousiasme pour créer un laboratoire de projets artistiques, un théâtre comique où découvrir la satire, l’absurdité des situations humaines… bref : la comédie humaine.

Le jeu est fait. Giorgio Carpintieri arrête son activité professionnelle d’architecte et finalement rejoint le monde du spectacle vivant, en réalisant son plus grand rêve.

Dirty Deep

Cinglants comme un coup de fouet, crasseux comme le cambouis, brûlants comme le désert. Prépare-toi à être marqué au fer rouge, car Dirty Deep s’apprête faire couiner en France ce blues de junk-joint des temps modernes, à la fois fidèle à la tradition et grungy, fait pour la danse et l’électrochoc.

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