Gounod Gothique

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GOUNOD GOTHIQUE
DANS LE CADRE DU BICENTENAIRE DE LA NAISSANCE DE CHARLES GOUNOD (1818-2018)
Musique chorale de Gounod et transcriptions pour chœur et orgue de Palestrina, Bach, Mozart...

CHŒUR DE LA RADIO FLAMANDE
Hervé Niquet, direction
François Saint-Yves, orgue

1. Prélude (improvisation d’orgue)
2. Giovanni Pierluigi DA PALESTRINA / Charles GOUNOD: Paucitas Dierum
3. Charles GOUNOD / Messe vocale :  Kyrie
4. Graduel (improvisation d’orgue)
5. Charles GOUNOD / Messe vocale : Gloria
6. Charles GOUNOD / Messe vocale : Credo
7. Offertoire (improvisation d’orgue)
8. Charles GOUNOD : Messe vocale: Sanctus - Benedictus
9. Wolfgang Amadeus MOZART / Charles GOUNOD: Ave verum
10. Charles GOUNOD : Messe vocale: Agnus Dei
11. Johann Sebastian BACH / Charles GOUNOD: Parce et Hosanna sur un choral et une fugue de Bach
Envoi (plain-chant et orgue)
12. Charles GOUNOD: Les Sept Paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ sur la Croix : Prologue- Luc, XXIII, 28 « Filles de Jérusalem, ne pleurez pas sur moi ! Pleurez plutôt sur vous-mêmes et sur vos enfants ». Arrivés au lieu-dit « le crâne », ils crucifièrent Jésus.
13. I- Matthieu, XXVII, 39 ; Luc, XXIII, 34 Les passants l’injuriaient en hochant la tête. « Père, pardonne-leur car ils ne savent ce qu’ils font ».
14. II- Luc, XXIII, 39, 40-43 Un des malfaiteurs suspendu à la croix dit à Jésus : « Seigneur, souviens-toi de moi quand tu entreras dans ton royaume ». Et Jésus lui répondit : « En vérité, je te le dis, aujourd’hui même tu seras avec moi au Paradis ».
15. III- Jean, XIX, 26-27 Voyant sa mère et près d’elle le disciple qu’il aimait, il dit à sa mère : « Femme, voici ton fils ». Puis il dit aux disciples : « Voici ta mère ».
16. IV- Matthieu, XXVII, 45-46 ; Marc, XV, 33-34 Les ténèbres se firent sur tout le pays. Et vers la neuvième heure, Jésus clama en un grand cri : « Eli, Eli, lamma sabacthani », c’est-à-dire : « Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
17. V- Jean, XIX, 28 Puis, sachant que tout était désormais achevé, Jésus dit, pour que toute l’Écriture s’accomplit : « J’ai soif ».
18. VI- Jean, XIX, 29-30 Un vase était là, plein de vin aigre. Une éponge imbibée de vin aigre fut fixée à une branche d’hysope et on l’approcha de sa bouche. Quand Jésus eut pris le vin aigre, il dit : « Tout est achevé ».
19. VII- Luc, XXIII, 28 « Père, je remets mon esprit entre tes mains ».

Gounod s’intéressa avec passion à la transcription chorale et aux styles du passé, au moment même où le restaurateur Viollet-le-Duc réinterprétait les architectures gothiques des églises et des cathédrales de France.
Le compositeur se penche ainsi tour à tour sur Bach, Palestrina, Haendel, Arcadelt, Arbeau et même Mozart,dont il adapte pour chœur la « Marche des prêtres » de La Flûte enchantée ou le célèbre Ave verum corpus. Ce contact avec le passé lui permet d’approfondir sa science de l’harmonie et du contrepoint de la Renaissance. De retour de la Villa Médicis, il compose à Vienne, en 1843, une originale Messe vocale dans le style palestrinien qui n’a jamais été publiée ni redonnée depuis sa création. Ponctué de chorals à la manière de Jean-Sébastien Bach, l’ouvrage va beaucoup plus loin que le simple pastiche : il parcourt les esthétiques du passé en les enrichissant des vibrantes harmonies du siècle romantique. Mais ce mysticisme fervent et passionné se retrouve plus encore dans Les Sept Paroles de Notre Seigneur Jésus-Christ sur la Croix (1855) dont le sujet à la fois funèbre et spirituel correspond bien à la personnalité ambiguë de la musique de Gounod, tiraillée entre ferveur et sensualité.

Théâtre des Bouffes du Nord

Destiné au répertoire de Caf-conc’ , le théâtre des Bouffes du Nord, commandé par M. Chéret à l'architecte Louis-Marie Emile Leménil, est construit sur des fondations déjà existantes, supposées être celles d'une caserne dont le projet fut abandonné. La salle comporte 530 places réparties en un parterre, un rang de loges et une galerie.
Le spectacle d'inauguration, une revue "Ta-Da-Da" n'obtient aucun succès. M. Chéret comprend alors qu'il s'est attaqué à trop forte partie, et cède la place au bout de quelques mois.

Une quinzaine de directeurs malchanceux se succèderont. Le théâtre, situé dans le quartier excentré de la Chapelle, en lisière des champs, mal éclairé et mal desservi, rebute les habitués des salles parisiennes. Quant au public de l'endroit, il n'est pas préparé à assister sagement à un spectacle. Il arrive que la police soit forcée de l'expulser tant il prend part avec passion aux événements qui se déroulent sur la scène.
1882 L'anarchiste Louise Michel, tente d'attirer les "Marlous" et les "Gigolettes" en faisant jouer une pièce révolutionnaire "Nadine" qui tombe à plat, dans une totale indifférence.
1885 Après que la nouvelle directrice, Mme Olga Léaud, soit partie avec la caisse sans payer les artistes, le théâtre ferme.
Septembre 1885 Abel Ballet, metteur en scène qui sévit principalement dans les théâtres de quartier, rouvre les Bouffes du Nord. Il y monte de grandes fresques historiques et des mélodrames où Margot pleure à gros sanglots. Le spectacle commence à 7 heures le soir et fini souvent au-delà de minuit. Tout comme à Montparnasse, on apporte son fricot que l'on réchauffe sur le poêle commun et que l'on déguste à l'entr'acte, Cette année-là débute Yvette Guilbert dans "La Reine Margot" d'Alexandre Dumas.

1890
Le théâtre du Château d'Eau vient de fermer ses portes et le jeune Firmin Gémier se trouve au bord de la misère. Il est engagé, alors, aux Bouffes du Nord mais il se sent frustré par le répertoire du théâtre devant lequel se pâme le public de la Chapelle et de la Villette.

1893
Abel Ballet accueille - et c'est tout à son honneur - Lugné-Poë qui, avec les comédiens du théâtre de L'reuvre, crée "Rosmersholm" et "Un Ennemi du peuple" de Ibsen, dans des décors dessinés et peints par Vuillard.
"Les Bouffes du Nord une fois louées, on dut répéter. Cependant que Edouard Vuillard aidé de quelques bons amis, Pierre Bonnard, Ranson, Sérusier, consentait à peindre sur la terre froide dans le magasin de décors de la rue de la Chapelle près des bureaux de la petite vitesse du chemin de fer du Nord. Comment nos bons amis ne sont-ils pas eux aussi morts de bronchite ? Il faut avouer que Vuillard et ses compagnons, retapant à 7h ou 8h du matin les vieux châssis que nous trouvions, ont risqué leur santé et leur jeunesse dans l'aventure. Le magasin de décors des Bouffes du Nord était ouvert à tous les vents et il n'y avait aucun chauffage."
Lugné-Poë. "Souvenirs"

Décembre 1893: Création de "Ames solitaires" de G. Hauptmann, mise en scène de Lugné-Poë.
Février 1894: Création de "Solness le constructeur" d'Ibsen, mise en scène de LugnéPoë.

1896
Abel Ballet quitte la direction des Bouffes du Nord. Les deux comédiens Emmanuel CIot et G, Dublay lui succèdent.

1904
La salle, sous l'impulsion de ses directeurs, est entièrement restaurée, repeinte, l'électricité y est installée. Comme pour lui donner ses lettres de noblesse on rebaptise le théâtre "Théâtre Molière" et on fait appel à des auteurs tels que Kistemaeckers, G. Spitzmiller, Georges Darien, A. Bernède et Gaston Leroux dont on monte une adaptation de son "Chéri-Bibi". L'arrivée du chansonnier, Aristide Bruant, interprétant sa propre pièce: "Fleur de Pavé" est considérée comme un événement.

Août 1914: Le Théâtre Molière, comme tous les autres théâtres, ferme ses portes.

1917: Déjà propriétaires de plusieurs scènes de variétés. Oscar Dufrenne et Henry Varna se portent acquéreurs des Bouffes du Nord qu'ils transforment en music-hall. Chaque année ils produisent deux revues, aux titres évocateurs, que signe, le plus souvent Henry Varna, et qui ont toujours beaucoup de succès: "C'est couru", "C'est épatant". "Cline, va!". "Le droit de couchage!". "La Revue très excitante", "La Revue folichonne", "Le Coucher de la marquise". "La Vie d'une fille", etc...

1923
Oscar Dufrenne et Henry Varna se retirent après avoir empoché de sérieux bénéfices. Henry Darcet leur succède et inscrit les Bouffes du Nord dans "Le Consortium des théâtres de quartiers". Réunis dans une même association, Les théâtres des Gobelins, de Grenelle, des Ternes, de Montrouge, des Bouffes du Nord, etc "font tourner des spectacles à succès, créés sur les boulevards. Les principaux rôles sont tenus par des comédiens de second rang, les prix des places sont modestes et l'affiche change toutes les semaines. Malheureusement certaines salles de quartier disparaissent, les unes après les autres, absorbées par la nouvelle industrie du cinéma.

1929
Paul Le Danois et Charles Malincourt remplacent Henry Darcet qui prend la direction de la Scala, Ils poursuivent comme ils peuvent la politique du Consortium.

Août 1932: Charles Malincourt se suicide, dans une crise de dépression.

Octobre 1932
Après avoir remis en état la salle, modernisé le plateau, Paul le Danois accueille le journaliste Léon Moussinac, fondateur du théâtre d'Art international, futur directeur de l'I.D.H.E.C., qui présente trois spectacles remarquablement montés et joués par une troupe de cinquante comédiens.

13 octobre 1932: "Miracle à Verdun" de Hans Chlumberg.

Novembre 1932
5 novembre 1932, "Le Train blindé n° 14-69" de Vsevolod Ivanov.
30 novembre 1932 "Acide prussique" de Friedrich Wolff.
Bien que la critique reconnaisse la grande qualité de ces spectacles, les recettes ne peuvent couvrir les dépenses, ni les frais du loyer, Léon Moussinac doit abdiquer.

Décembre 1932 "Les Surprises du divorce", vaudeville d'Alexandre Bisson.

1935: Décès de Paul le Danois. Les Bouffes du Nord n'offrent plus que des spectacles épisodiques.

1943: La chanteuse réaliste Damia organise des soirées de music-hall dans lesquels elle tient la vedette.

Mai 1945
Comme pour fêter l'Armistice, un jeune metteur en scène, plein d'enthousiasme, Jean Serge, ouvre à nouveau le théâtre auquel il donne le nom de "Théâtre des Carrefours".

25 mai 1945: "L'Invasion" de Léonid Léonov (Prix Staline 1944) avec Daniel Ivernel et Michel Piccoli.

30 octobre 1945: "Les Bouches inutiles" de Simone de Beauvoir, avec Michel Vitold.

27 janvier 1946: "Winterset" de Maxwell Anderson, adaptation de Marcel Achard avec Daniel Gélin et, dans un petit rôle, Louis de Funès, et "Le Roi sans amour" de Paul Mourousi.

Septembre 1946
Ne pouvant plus assumer financièrement la bonne marche du théâtre, Jean Serge se retire. René Marjolle, ex-chanteur de l'Opéra-Comique souhaite donner une vocation lyrique aux Bouffes du Nord, mais après une année difficile, lui, aussi, abandonne.
Décembre 1950

Charles Béai, ancien directeur du théâtre de l'Humour, tente à son tour l'expérience. Il la réussit grâce à une reprise de "Ces Dames aux chapeaux verts" d'après le roman de Germaine Acremant, avec Alice Tissot et Armand Bernard. La pièce "tient" plus de trois mois. On se reprend à espérer..
.
1951
"1900, c'était le bon temps", spectacle de music-hall.

Juin 1952: Trop vieux, mal entretenu, le théâtre ne présente plus les normes de sécurité prescrites par la préfecture de Police et doit fermer ses portes.

1974
Peter Brook et Micheline Rozan, fondateurs du Centre International de 8 Créations Théâtrales, se souviennent de ce bâtiment délabré qu'est le théâtre des Bouffes du Nord. Grâce à l'appui financier du Festival d'Automne, que dirige Michel Guy, ils le font restaurer avec une intelligence et un goût remarquables.

"C'est souvent beau, un vieux théâtre, mais toute mise en scène y reste confinée dans des espaces d'autrefois. Un théâtre tout neuf peut être dynamique et pourtant rester froid et sans âme. Aux Bouffes du Nord, on est frappé par la noblesse des proportions, mais en même temps, cette qualité est cassée par l'apparence rude du lieu. Ces deux aspects font un tout. Si l'on restaurait parfaitement le théâtre, alors la beauté de l'architedure perdrait en quelque sorte de sa force et deviendrait un inconvénient."
Peter Brook, 1974.

15 octobre 1974: Réouverture du théâtre des Bouffes du Nord avec "Timon d' Athènes", dans une adaptation de J.-C. Carrière. Mise en scène de Peter Brook.

  • 37 bis, bd de La Chapelle, 75010 Paris France
  • web

Hervé Niquet

C’est en suivant l’enseignement de Marie-Cécile Morin, élève de Marguerite Long et de Maurice Ravel, amie de Samson François, qu’Hervé Niquet développe son goût pour le travail sur les partitions originales et la recherche des intentions premières du compositeur.

Fort d’une formation complète de claveciniste, organiste, pianiste, chanteur, compositeur, chef de chœur, chef d’orchestre associée à une expérience décisive de chef de chant à l’Opéra de Paris auprès d’artistes tels que Rudolf Noureev et Serge Lifar, Hervé Niquet aborde le métier de musicien comme un chercheur, préférant revenir aux sources pour dépasser les conventions et les usages.

En 1987, il fonde Le Concert Spirituel avec pour ambition première de faire revivre le grand motet français. Depuis, Le Concert Spirituel s’est imposé sur la scène internationale comme l’un des ensembles de référence dans l’interprétation de la musique baroque, élargissant son répertoire à tous les styles et tous les genres, de la musique sacrée à l’opéra en passant par la sinfonie, redécouvrant les œuvres connues et inconnues des compositeurs français, anglais ou italiens de cette époque.

Dans le même esprit et postulant qu’il n’y a qu’une musique française sans aucune rupture tout au long des siècles, Hervé Niquet dirige les grands orchestres internationaux avec lesquels il explore les répertoires du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Son esprit pionnier dans la redécouverte des œuvres de cette période l’amène à participer à la création du Palazzetto Bru Zane – Centre de musique romantique française à Venise en 2009 avec lequel il mène à bien de nombreux projets. Sous sa direction de nombreuses redécouvertes marquantes ont vu le jour: Herculanum de Félicien David, Dimitiri de Victorin Joncières, La légende des ours de Marie Jaëll et La Reine de Chypre de Fromental Halévy.

Passionné par l’opéra, Hervé Niquet est régulièrement invité à diriger des œuvres lyriques, que ce soit avec Le Concert Spirituel ou en tant que chef invité. Il collabore avec des metteurs en scène aux esthétiques aussi diverses que Mariame Clément, Georges Lavaudant, Gilles et Corinne Benizio (alias Shirley et Dino), Joachim Schloemer, Christian Schiaretti pour Castor et Pollux de Rameau au Théâtre des Champs-Elysées, Christoph Marthaler ou encore Romeo Castellucci au Théâtre royal de La Monnaie pour Orphée et Eurydice de Gluck.

Hervé Niquet est directeur musical du Chœur de la Radio flamande et premier chef invité du Brussels Philharmonic. Sous sa direction, ces deux formations sont très impliquées dans la collection discographique des cantates du Prix de Rome sous l’égide du Palazzetto Bru Zane, avec, à ce jour, des volumes consacrés à Claude Debussy, Camille Saint-Saëns, Gustave Charpentier, Max d’Ollone ou Paul Dukas, ainsi que des opéras inédits de Victorin Joncières ou Félicien David (récompensé d’un Echo Klassik en 2016).

Sa démarche comprend aussi une grande implication personnelle dans des actions pédagogiques auprès de jeunes musiciens (Académie d’Ambronay, Jeune Orchestre de l'Abbaye aux Dames, Schola Cantorum, CNSMD de Lyon, McGill University à Montréal, etc.) ou à travers de multiples master-classes et conférences. Transmettre le fruit de son travail sur l’interprétation, les conventions de l’époque et les dernières découvertes musicologiques, mais également sur les réalités et les exigences du métier de musicien, est pour lui essentiel.

Hervé Niquet est Chevalier de l’Ordre National du Mérite et Officier des Arts et Lettres.

  • Clavecin, Chef d'orchestre
  • web

Vlaams Radio Koor

C’est en 1937 que le NIR (Institut national de radiodiffusion de la Belgique) fonde le chœur de chambre professionnel Vlaams Radio Koor (Chœur de la Radio Flamande). Ce dernier est aujourd’hui un ensemble vocal d’un niveau exceptionnel, applaudi en Belgique comme à l’étranger. Les 24 chanteurs répètent sous la direction du chef de chœur Hervé Niquet, dans le Studio 1 du célèbre bâtiment Flagey à Bruxelles.

Pilier majeur de la programmation du Vlaams Radio Koor, les productions a cappella sont présentées en tournée dans toute la Flandre de quatre à six fois par an. Le professionnalisme et la passion de chacun de ses membres font du chœur un ensemble vocal unique, qui séduit tant par ses performances techniques que son interprétation sans faille et sa créativité. Le travail quotidien du chœur porte sur des productions a cappella novatrices ou s’intéresse aux avancées des différentes disciplines artistiques abordées.

Le chœur continue cependant à se concentrer sur le concert, cet événement qui fait naître des émotions du silence, devant et avec le public.

A côté des précieux et fidèles partenaires qu'il a su trouver en Flandre, le Vlaams Radio Koor a conquis une place importante sur différentes scènes internationales. Une reconnaissance internationale est venu aussi grâce à la collaboration avec le Palazzetto Bru Zane, initiateur de la prestigieuse série d’enregistrements autour du Prix de Rome. Dans une série avec Evil Penguin Records, Hervé Niquet dirige avec le Vlaams Radio Koor et le Brussels Philharmonic de nouveaux enregistrements de Requiem mythiques.

En outre, le chœur collabore régulièrement avec des ensembles instrumentaux belges et étrangers, tels que le Brussels Philharmonic, l’Orchestre de chambre de Paris, Les Siècles, le Radiofilharmonisch orkest, l’Orchestre royal du Concertgebouw.

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