Gabetta, Skride, Angelich @ Solsberg 2014

Solsberg Festival ClassicAll 34

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Baiba Skride, violon
Sol Gabetta, violoncelle
Nicolas Angelich, piano

Robert Schumann (1810–1856): Phantasiestücke pour piano, violon et violoncelle, op. 88 (1842)

Felix Mendelssohn (1809–1847): Trio pour piano et cordes n°1 en ré mineur, op. 49 (1839)

Franz Schubert (1797–1828): Trio pour piano et cordes n°1  en si bémol majeur, op.99 D898 (1826)

Avec Sol Gabetta, la star parmi les violoncellistes, festival rime avec convivial. Directrice artistique de cet événement construit autour d’elle, elle invite des musiciens d’exception à jouer dans un cadre sacré.

Impossible de résumer en une phrase ce qui confère au Solsberg Festival son statut exceptionnel. Il y a, c'est sûr, les remarquables musiciens, tous lauréats de nombreux prix internationaux, avec, en premier lieu, l’organisatrice du festival, Sol Gabetta. La violoncelliste virtuose argentine, installée près de Bâle, est depuis 2006 la directrice artistique de ce festival de musiqiue de chambre à 20 km de chez elle. 

Et il y a, d’autre part, un cadre exceptionnel aussi bucolique que sacré : l’église baroque Saint-Martin de Rheinfelden et le cloître d’Olsberg, datant de 1234. Mais l’aspect essentiel de ce festival est probablement son ambiance chaleureuse, celle d’un concert entre des amis de longue date qui partagent avec le public leur passion musicale. Rarement une rencontre musicale entre amis aura été d’aussi haute tenue…

Solsberg Festival

Impossible de résumer en une phrase ce qui confère au Solsberg Festival son statut exceptionnel. Il y a, c'est sûr, les remarquables musiciens, tous lauréats de nombreux prix internationaux, avec, en premier lieu, l’organisatrice du festival, Sol Gabetta. La violoncelliste virtuose argentine, installée près de Bâle, est depuis 2006 la directrice artistique de ce festival de musiqiue de chambre à 20 km de chez elle. 

Et il y a, d’autre part, un cadre exceptionnel aussi bucolique que sacré : l’église baroque Saint-Martin de Rheinfelden et le cloître d’Olsberg, datant de 1234. Mais l’aspect essentiel de ce festival est probablement son ambiance chaleureuse, celle d’un concert entre des amis de longue date qui partagent avec le public leur passion musicale. Rarement une rencontre musicale entre amis aura été d’aussi haute tenue…

  • Christoph Müller Byfangweg 22
 4051 Basel Suisse
  • web

Sol Gabetta

Sol Gabetta a percé sur la scène internationale en 2004 lorsqu’elle a fait ses débuts au festival de Lucerne avec l’Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction
de Valery Gergiev comme lauréate du Crédit Suisse Young Artist Award.
La violoncelliste née en Argentine avait déjà remporté son premier concours dès l’âge de dix ans, puis le prix Natalia Gutman
et plusieurs distinctions au concours Tchaïkovski de Moscou et au Concours international de musique ARD.

L’artiste a été nominée au Grammy a remporté en outre le Gramophone Young Artist of the YearAward (2010) et le prix Würth des Jeunesses Musicales (2012).
Après ses débuts remarquables avec l’Orchestre philharmonique de Berlin et Simon Rattle au festival de Pâques de Baden Baden en 2014, Sol Gabetta débute à la
Staatskapelle de Berlin en décembre 2014.
La saison 2014/15 verra également ses débuts à l’Orchestre symphonique de Toronto, une tournée européenne est prévue
avec l’Orchestre philharmonique de Londres et Vladimir Jurowski ainsi qu’une tournée européenne de récitals avec Bertrand Chamayou avec qui elle réalisera un
enregistrement CD en 2015.

Sol Gabetta coopère avec les orchestres et les chefs d’orchestre les plus réputés du monde entier, notamment l’Orchestre de l’Académie nationale Sainte Cécile,
l’Orchestre symphonique national de Washington, l’Orchestre National de France, l’Orchestre royal du Concertgebouw d’Amsterdam, l’Orchestre symphonique de la
Radio bavaroise, l’Orchestre symphonique de Bamberg, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l’Orchestre du Bolchoï, l’Orchestre symphonique de la Radio finlandaise,
ainsi que l’Orchestre de Philadelphie, l’Orchestre philharmonique de Londres et l’Orchestre Philharmonia.
Elle entretient une coopération artistique particulièrement étroite avec des chefs d’orchestre tels que Giovanni Antonini, Mario Venzago, Pablo
Heras Casado et Thomas Hengelbrook.
Sol Gabetta se produit également comme chambriste sur tous les continents avec des partenaires tels que Patricia Kopatchinskaja, Baiba Skride et
surtout Bertrand Chamayou, notamment au Wigmore Hall de Londres, au Palau de la Musica Catalana de Barcelone ou au Théâtre des Champs Elysées. Sa passion pour la
musique de chambre s’exprime avec une intensité particulière dans le cadre de son propre festival « Solsberg ».
En 2013, Sol Gabetta s'est vu décerner le prix Echo Klassik comme instrumentiste de l’année pour son enregistrement du premier concerto pour violoncelle de
Chostakovitch avec l’Orchestre philharmonique de Munich et Lorin Maazel.

Egalement en 2007, 2009 et 2011, ses enregistrements (concertos pour violoncelle de Haydn, Mozart, Elgar ainsi que des œuvres de Tchaïkovski et Ginastera) ont été
récompensés par le prix Echo. Sol Gabetta possède une discographie respectable chez SONY, et Deutsche Grammophon a sorti un enregistrement en duo avec
Hélène Grimaud. Grâce à une bourse généreuse du Fonds culturel Rahn, Sol Gabetta joue sur un violoncelle rare et précieux de G.B. Guadagnini de 1759. Depuis 2005, elle enseigne
à la Musik Akademie de Bâle.

 

Baiba Skride

Baiba Skride s’est produite avec des orchestres prestigieux comme ceux de la Radio bavaroise, du Gewandhaus de Leipzig, de la Tonhalle de Zurich, de Paris, l’Orchestre Philharmonia, l’Orchestre symphonique de Sydney et, aux États-Unis, les orchestres de Cleveland, Boston, Philadelphie, Houston et Cincinnati. Elle collabore régulièrement avec des chefs comme Charles Dutoit, Paavo Järvi, Neeme Järvi, Andris Nelsons, Kirill et Vassili Petrenko. Elle vient de faire des débuts attendus avec l’Orchestre philharmonique de Berlin, dans le Concerto «à la mémoire d’un ange» de Berg sous la baguette d’Andris Nelsons
Son engagement croissant pour la musique contemporaine s’est illustré récemment par la création mondiale du double concerto du compositeur danois Hans Abrahamsen aux côtés de sa sœur Lauma Skride, qui est de longue date sa partenaire de musique de chambre. Le duo a remporté un vif succès lors de ses tournées en Amérique du Nord et au Japon. En Europe, elles ont joué notamment au Wigmore Hall de Londres, au Gewandhaus de Leipzig et à la Schubertiade d’Hohenems.
Baiba Skride vient de publier un coffret Brahms chez Orfeo, incluant le concerto avec l’Orchestre philharmonique de Stockholm et Sakari Oramo et les Danses hongroises avec Lauma Skride. Parmi ses enregistrements les plus remarqués, citons un CD Tchaïkovski avec l’Orchestre symphonique de la Ville de Birmingham et Andris Nelsons, un disque en duo avec sa sœur (Schubert, Beethoven, Ravel), un disque en solo (Ysaÿe, Bartók, Bach) et deux disques de concertos, tous chez Sony.
Née à Riga (Lettonie) dans une famille de musiciens, Baiba Skride a remporté en 2001 le premier prix du Concours Reine-Élisabeth. Depuis novembre, elle joue le Stradivarius «Ex- Baron Feilitzsch» (1734), que lui prête généreusement Gidon Kremer.

Nicholas Angelich

Nicholas Angelich est l'un des pianistes contemporain les plus talentueux de sa génération. Fasciné par la musique de Mozart, de Beethoven, Angelich est aussi très à l'aise avec le répertoire romantique et la musique contemporaine.

C'est sa mère qui initie Nicholas Angelich au piano dès son plus jeune âge. Jeune prodige, il donne son premier concert à 7 ans. A l'adolescence, il quitte les Etats-Unis pour la Fance et intègre le Conservatoire National Supérieur de Paris, où il est l'élève d' Aldo Ciccolini, Yvonne Loriod et Michel Beroff. Nicholas Angelich se passionne pour des répertoires divers, époque classique, romantique et également contemporaine. Il joue Messiaen, Stockhausen, Boulez, Eric Tanguy et Pierre Henry pour qui il crée le Concerto sans orchestre pour piano. Grand passionné de musique de chambre, il a trouvé de parfaits complices chez les frères Renaud et Gautier Capuçon.

Nicholas Angelich a reçu de multiples prix et récompenses. A l'instar du Concours international de piano Gina Bachauer en 1994, le Prix du meilleur jeune talent au Festival international de piano de la Ruhr en 2002. En 2013, il est désigné comme « soliste instrumental de l'année » aux Victoires de la musique classique.
Angelich s’est produit avec les ensembles les plus prestigieux : Myung-Whun Chung, Marc Minkowski ou encore Sir Colin Davis

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