Tonhalle Orchester Zürich / Michael Sanderling

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Hector Berlioz: Le Corsaire, Ouverture
Ludwig van Beethoven: Concerto pour piano no.2 en si bémol majeur op.19
Piotr Iliych Tchaikovsky: Symphonie no.4 en fa mineur, op. 36

Rafal Blechacz, piano
Tonhalle Orchester Zürich
Michael Sanderling, direction

La première version de cette ouverture remonte à un séjour que Berlioz fit à Nice en 1844, son second séjour après celui de 1831, pendant lequel il avait composé l’ouverture du Roi Lear. L’œuvre avait d’abord pour titre La Tour de Nice. La première exécution eut lieu sous la direction de Berlioz au Cirque Olympique à Paris dans un concert le 19 janvier 1845. Selon un critique de l’époque, visiblement désarçonné par l’œuvre nouvelle:

C’est une composition extrêmement originale, pleine d’effets fantastiques et de caprices bizarres. On dirait un conte d’Hoffmann. Cela vous jette dans un malaise indéfinissable; cela vous tourmente comme un mauvais rêve, et remplit votre imagination d’images étranges et terribles. Assurément cette tour de Nice est habitée aujourd’hui par des centaines de hiboux et d’orfraies, et les fossés qui l’entourent sont remplis de couleuvres et de crapauds. Peut-être a-t-elle servi de retraite à des brigands ou de forteresse à quelque tyran du moyen âge; peut-être quelque prisonnier illustre, quelque belle innocente et persécutée y ont-ils expiré dans les angoisses de la faim, ou sous le fer des bourreaux. Vous pouvez tout supposer et tout croire quand vous entendez ces violons qui grincent, ces hautbois qui croassent, ces clarinettes qui gémissent, ces basses qui grondent, ces trombones qui râlent. L’Ouverture de la Tour de Nice est l’ouvrage le plus étrange et le plus curieux peut-être qu’ait jamais enfanté l’imagination d’un musicien.

Berlioz remania l’ouvrage entre 1844 et 1851, et l’ouverture fut désormais appelée Le Corsaire (titre qui n’a aucun rapport direct avec The Corsair de Byron que Berlioz avait lu en 1831 pendant son séjour en Italie). Publiée en 1852 elle est dédiée à son ami James Davison. La forme suit celle de toutes les ouvertures de Berlioz à partir de celle de Benvenuto Cellini: une allusion rapide à l’allegro principal précède le mouvement lent dont la quasi-immobilité fait contraste avec l’énergie débordante de l’allegro.  Les deux parties sont fondues ensemble par le retour du thème de l’adagio comme second sujet de l’allegro (mesures 196-255, avec une anticipation aux mesures 174-195, puis encore mesures 319-345). Les traits brillants des violons (mesures 1-17, 72-88, 266-282) sont peut-être inspirés par l’exemple de Weber (voyez les ouvertures du Freischütz, d’Euryanthe, et d’Obéron). Il est surprenant de constater que l’ouvrage, l’un des plus brillants de Berlioz, ne reçut que de rares exécutions sous la direction du compositeur de son vivant. Il dirigea la première exécution de l’ouverture.

Le concerto pour piano et orchestre en si bémol majeur op. 19 est le second (dans l'ordre des numéro d'opus) des cinq concertos pour piano et orchestre de Ludwig van Beethoven.

En fait, le jeune Beethoven avait déjà composé un concerto pour piano en 1784 (Concerto pour piano en mi bémol majeur, WoO4) dont il reste une partition incomplète. De plus, le concerto n°2 a été composé bien avant le Concerto n°1. Commencé pendant l'hiver 1794-95, une première version fut donnée par Beethoven à Vienne le 29 mars 1795. Il est remanié une première fois d'août à octobre 1798 en vue d'un concert à Prague. Beethoven recorrigera plusieurs fois la partie pour piano avant sa publication chez Hoffmeister à Leipzig en 1801.

Le 29 mars 1795, Beethoven se produisait pour la première fois dans un grand concert donné par la célèbre Tonkünstler-Societät au Burgtheater de Vienne. On y donnait Gioas, re di Giuda, un oratorio d'Antonio Casimir Cartellieri, et Beethoven était chargé de meubler l'entracte. La presse en fit l'écho dans ces termes:

    « Pendant l'entracte […] le célèbre M. Ludwig van Beethoven a recueilli l'approbation unanime dans un concerto tout nouveau pour piano-forte composé par lui-même. »

L'article ne mentionne malheureusement pas la tonalité, selon une habitude de l'époque, ce qui nous prive d'un précieux indice et donne lieu à des spéculations quant à l'identité de ce nouveau concerto. En fait, nous savons aujourd'hui que Beethoven commença à composer le Concerto en si bémol à Bonn. Nous possédons en effet une page portant des filigranes de la période de Bonn, vers 1790. Nous connaissons par ailleurs deux finales différents de ce concerto opus 19, dont le premier, chronologiquement, est le Rondo pour piano et orchestre WoO 6, qui allait être écarté par la suite.

Le Deuxième concerto fut achevé juste avant son exécution, selon une habitude que Beethoven semble avoir conservée plusieurs années, et dans des circonstances difficiles :

Le concerto fut ensuite repris plusieurs fois à Vienne à l'occasion de différents concerts. Peut-être Beethoven l'a-t-il ensuite repris au cours de son deuxième voyage à Prague en 1798. De toute façon, il ne fut tout à fait terminé qu'en 1800, puisqu'en envoyant à son ami et éditeur F.A. Hoffmeister à Leipzig différentes œuvres il écrit:

    « Un concerto pour le pianoforte, que je ne donne pas, il est vrai, pour un de mes meilleurs, ainsi qu'un autre [l'opus 15] qui paraîtra ici chez Mollo (ceci pour information aux chroniqueurs leipzigois), car je garde les meilleurs pour moi jusqu'à ce que je fasse un voyage. Mais il n'y aurait pour vous rien de honteux à faire graver ce concerto. »

Dans une lettre de juin 1801 à Hoffmeister, Beethoven indique aussi le numéro d'opus à graver pour le concerto: ce sera le n° 19 ainsi que la dédicace à Monsieur Charles Nickl noble de Nickelsberg, conseiller aulique de sa Majesté Impériale et Royale.

La lettre révèle donc déjà l'existence du 3e Concerto en ut mineur opus 37 qui lui aussi sera publié quatre ans après sa composition. En effet, pour Beethoven, le concerto était nécessaire au virtuose afin de briller dans les concerts. Il ne fallait donc pas qu'il soit livré au grand public par l'édition avant que le virtuose ne se produise. Il l'explique à son éditeur à Vienne:

    « Il est de bonne politique musicale de garder par-devers soi les meilleurs concertos pendant longtemps. »

Beethoven se montrait souvent extrêmement critique vis-à-vis de son œuvre. Ainsi, il écrira encore à son éditeur Hoffmeister:

    « Je ne mets le concerto qu'à dix ducats, parce que, comme je vous l'ai déjà écrit, je ne le donne pas pour un de mes meilleurs. »

Il est probable qu'au terme de dix années de remaniements, Beethoven s'était lassé de son concerto. Pourtant, par son équilibre délicat des thèmes robustes (comme ceux du finale) et les traits subtils et de toute beauté du mouvement lent, il est digne de la tradition classique mozartienne.

Il ne reste pas de trace des cadences originales, le musicien ayant l'habitude de les improviser au concert. Cependant, nous avons celle qu'il composa en 18092, sans doute à destination d'un élève ne maîtrisant pas l'art de l'improvisation, l'archiduc Rodolphe par exemple. Czerny, l'élève de Beethoven, écrivit en 1842 à propos du concerto : « À la fin, il faut également improviser une cadence »5. Le message de ce fidèle de Beethoven était clair : l'improvisation d'une cadence est davantage une affaire de devoir que de liberté

Le premier mouvement diffère des autres concertos de Beethoven par l'irrégularité dans la présentation des thèmes. L'orchestre expose longuement le seul premier thème. Le soliste reprend ce thème brièvement, puis se consacre à un deuxième thème qui avait été complètement ignoré par l'orchestre. Le développement s'appuie exclusivement sur le premier thème. La réexposition reprend ce dernier de façon brève, mais réexpose le second dans son intégralité. La coda comporte une cadence longue (79 mesures) écrite par Beethoven en 1809 et comportant un passage en fugato.

Le second mouvement, en mi bémol majeur, est de forme sonate sans développement. Le piano ne fait encore que répondre aux suggestions de l'orchestre, l'improvisation est moins conventionnelle, avec notamment la fin du mouvement très surprenante, notée con gran espressione.

Dans le Rondo final, c'est cette fois-ci le piano qui initie le refrain. Ce final présente de nombreuses ressemblances avec son homologue du concerto no 1 Op. 15. Comme lui, il présente la forme du rondo sonate avec un refrain et deux couplets (A B A C A B A Coda). Ce mouvement reste concis et très dynamique sur le plan rythmique.

La Symphonie no 4 en fa mineur, op. 36, de Piotr Ilitch Tchaïkovski, fut composée entre mars et décembre 1877.

Les sonneries de cuivres qui ouvrent la symphonie représentent le fatum (« Une force du destin qui nous interdit de goûter le bonheur, veille jalousement à ce que notre félicité et nos apaisements ne soient jamais sans mélange, pend au-dessus de nos têtes comme l'épée de Damoclès, et verse inexorablement un lent poison dans l'âme. Il faut nous y soumettre et nous résigner à une tristesse sans issue »). À chaque fois que l'homme croit pouvoir se détacher de son destin pour aller vers quelque chose de meilleur[réf. nécessaire], le thème du fatum réapparait tel un retour brutal à la triste réalité. Ces sonneries de cuivres seront le thème récurrent de la symphonie. La quatrième symphonie est la première des symphonies de Tchaïkovski dites du destin. Suivront ensuite la cinquième symphonie et la Pathétique.

Les trois premiers mouvements furent composés à Venise, lorsque Tchaïkovski séjournait à la chambre 106 du Londra Palace (l'Hôtel Beau Rivage à l'époque) du 2 au 16 décembre 1877. Il comptait appeler sa symphonie "Do Leoni" (Les Deux Lions) en honneur du lion de Saint Marc et du lion rampant anglais.

La première représentation de la quatrième symphonie eut lieu à Moscou le 10 février 1878 sous la direction de Nikolaï Rubinstein. Elle devint rapidement un pilier du répertoire classique et fut une des symphonies les plus jouées à la fin du XIXe siècle.


 


 

Tonhalle Zürich

La salle Tonhalle Zurich est reconnue parmi les meilleurs espaces acoustiques du monde. Elle fut construite en 1895 et inaugurée en présence de Johannes Brahms. Cette salle renommée a une capacité de 1455 spectateurs.

Ces dernières années, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich est devenu l’un des plus renommés d’Europe. Une centaine d'instrumentistes motivés, dirigés par une personnalité engagée (Lionel Bringuier, chef d'orchestre depuis 2014) offrent au public près de cent concerts par saison avec une cinquantaine de programmes différents.

  • Tonhalle Zurich Claridenstrasse 7 8002 Zürich Suisse
  • web

Rafał Blechacz

Rafał Blechacz né le 30 juin 1985 à Nakło nad Notecią, Pologne est un pianiste polonais, lauréat du premier prix du XVe concours international de piano Frédéric-Chopin de Varsovie en 2005.

Rafał Blechacz, qui a commencé le piano à l’âge de cinq ans, étudie à l'Académie de musique de Bydgoszcz. Dès le début de sa carrière, il reçoit un grand nombre de récompenses, non seulement dans son pays natal, où il obtint le 2e prix du Concours de piano Arthur Rubinstein à Bydgoszcz (2002), mais aussi à l’étranger, en Allemagne, au Japon (2003), ou encore au Maroc (2004).

Lors du concours Chopin, le 21 octobre 2005, la performance artistique de Rafał Blechacz a été jugée tellement supérieure à celle de ses concurrents, que le jury international a jugé opportun de ne pas attribuer le deuxième prix, pour marquer la distance entre Rafał et les autres. Outre la médaille d'or, Rafał a été gratifié de trois prix spéciaux : « meilleure performance pour une mazurka », « meilleure performance pour une polonaise » et « meilleure performance pour un concerto ». Le troisième prix a été attribué aux deux frères coréens, Dong-Hyek Lim et Dong-Min Lim.

Pour les Polonais, l'attribution de cette prestigieuse récompense à un de leurs compatriotes, dans un concours qui porte le nom de Frédéric Chopin est à la fois une joie, une fierté et un honneur. Rafał Blechacz succède dans le palmarès au dernier Polonais lauréat, l’inoubliable et talentueux Krystian Zimerman, couronné en 1975.

Rafał Blechacz a été invité en 2006 à la Philharmonie de Varsovie et au Conservatoire de Moscou avec l'orchestre du Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg sous la direction de Valery Gergiev.

 

Michael Sanderling

Michael Sanderling, fils de la contrebassiste Barbara Sanderling et du chef d'orchestre Kurt Sanderling, a reçu ses premières leçons de violoncelle à l'âge de cinq ans à Berlin. À l'âge de onze ans, il est devenu élève de Matthias Pfaender à la Spezialschule für Musik Berlin. À l'âge de dix-sept ans, Sanderling a été reçu à la Hochschule für Musik "Hanns Eisler" et a étudié avec Josef Schwab. Il a pris des leçons avec William Pleeth (en), Yo-Yo Ma, Gary Hoffmann (en) et Lynn Harrell. En 1987, il a remporté un 1er prix au Concours international de musique Maria Canals. La même année, après ses débuts en tant que soliste, il a été engagé en tant que violoncelle solo de l'Orchestre du Gewandhaus de Leipzig de Kurt Masur où il est resté jusqu'en 1992. De 1994 à 2006, il était invité comme soliste par le Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin (Berlin-Est). De 1994 à 1998, il était professeur à la Hochschule für Musik "Hanns Eisler". En 1998, il a commencé à enseigner à l'Université de musique et des arts de la scène de Francfort. Entre 2000 et 2003, il a également été professeur à la Hochschule der Künste Bern.

La liste des orchestres qui ont invité Sanderling comme soliste comprend l'Orchestre symphonique de la Radiodiffusion bavaroise, le Deutsches Symphonie-Orchester Berlin, le Rundfunk-Sinfonieorchester Berlin, l'Orchestre de Paris, l'Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l'Orchestre symphonique de Vienne, l'Orchestre philharmonique de Los Angeles et l'Orchestre symphonique de Boston. Parmi ses partenaires de musique de chambre, on trouve Elisabeth Leonskaïa, Julia Fischer, Martin Helmchen (en) et Veronika Eberle (en). Il a été membre de l'Ex Aequo Trio de 1988 à 1996. Michael Sanderling a terminé sa carrière en tant que soliste de violoncelle en 2010. Il consacre désormais son temps à l'enseignement et à sa carrière de chef.

Michael Sanderling a fait ses débuts comme chef d'orchestre en dirigeant le Kammerorchester de Berlin lors d'un concert le 25 novembre 2000, à la Philharmonie de Berlin. Depuis, il a graduellement accepté des engagements comme chef. En 2003, il est devenu chef d'orchestre principal de la Deutsche Streicherphilharmonie avec qui il a joué dans les salles de concert de renom de l'Allemagne, à la Dresdner Musikfestspielen, le Festspielen Mecklenburg-Vorpommern, au Monténégro, en Norvège, Chine et Malaisie ainsi comme au Young Euro Classic à Berlin. De 2006 à 2010, Sanderling a été chef principal et directeur artistique de la Kammerakademie Potsdam. Pendant ce temps, il a dirigé l'opéra La Chute de la maison Usher de Philip Glass. Il a conduit une tournée en Allemagne en 2007 avec Julia Fischer et Daniel Müller-Schott. Il a réalisé des spectacles au Rheingau Musik Festival et fait une tournée en Espagne en 2009. En 2009, Sony a sorti un CD d'œuvres pour petit orchestre de Dmitri Chostakovitch enregistrées avec le Kammerakademie Potsdam sous la baguette de Michael Sanderling.

En 2010, l'Orchestre philharmonique de Dresde a choisi Michael Sanderling comme leur chef principal. Il a pris ses fonctions prenant la succession de Rafael Frühbeck de Burgos à partir de la saison 2011/2012. En 2011, il a dirigé la nouvelle production de l'opéra de Prokofiev "Guerre et Paix" à l'Opéra de Cologne. En 2012, son contrat comme chef principal de l'Orchestre philharmonique de Dresde a été prolongée jusqu'à et y compris la saison 2018/19.

Michael Sanderling est un invité régulier de divers orchestres de renom, parmi lesquels l'Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l'Orchestre de la Tonhalle de Zurich, l'Orchestre philharmonique de Munich, le Konzerthausorchester Berlin, l'Orchestre Symphonique NHK de Tokyo, l'Orchestre symphonique de la radio de Stuttgart et l'Orchestre symphonique de la WDR de Cologne.

Tonhalle Orchester Zürich

Fondé en 1868, l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich est le plus ancien orchestre symphonique de Suisse et joue dans l’une des meilleures salles au monde, la Tonhalle de Zurich. Il est composé de plus de 100 musiciens, issus de 20 pays, et donne chaque saison environ 50 programmes et plus de 100 concerts. Au cours des deux dernières décennies, l’orchestre s’est produit dans plus de 70 villes et dans 14 pays, accompagnant en tournée avec des solistes comme Joshua Bell, Rudolf Buchbinder, Alfred Brendel, Julia Fischer, Hélène Grimaud, Gidon Kremer, Radu Lupu, Yo-Yo Ma, Viktoria Mullova, Maria João Pires et Sabine Meyer. 40 enregistrements discographiques témoignent de ce cheminement au sommet de l’excellence, parmi lesquels les intégrales des symphonies de Beethoven, Mahler, Brahms et Schubert ont été particulièrement remarquées et encensées.

Des concerts spécifiques familiarisent les jeunes oreilles, et des jeunes de tous âges participent à des ateliers avec des musiciens de l’orchestre ou organisent eux-mêmes des concerts. Pour les jeunes adultes, tonhalleLATE offre une combinaison originale de concerts classiques et de soirées électro. TOZZukunft est une plateforme communautaire pour jeunes de 18 à 30 ans : concerts en groupe, offres exclusives, accès aux répétitions générales…

Ces dernières années, l’orchestre a tissé des liens étroits avec Herbert Blomstedt, Christoph von Dohnányi, Charles Dutoit et Bernard Haitink. Ton Koopman et Giovanni Antonini, représentants éminents des pratiques musicales historiques, dirigent régulièrement l’orchestre. Jusqu’à la fin de la saison 2013/2014, David Zinman a partagé la vie de l’Orchestre de la Tonhalle comme chef principal, poste qu’il occupait depuis près de vingt ans. Une nouvelle ère s’est ouverte en 2014/2015 avec le nouveau chef principal, le Français Lionel Bringuier.

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