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La Comédie de Saint-Etienne Dramateek 8

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Le papa de Simon n'aime pas beaucoup les contes de fées. Il trouve qu'ils n'aident pas les enfants à grandir. Simon, en revanche, les affectionne énormément. Comme s'il s'agissait d'un conte, ce « petit garçon » pas tout à fait comme les autres nous raconte son histoire. Son père qui a déjà sept filles et ne les apprécie guère, a promis de trancher la gorge de son huitième enfant s'il ne s'agissait pas d'un mâle. Pour sauver la vie de son bébé, la maman de Simon se verra contrainte de mentir à son mari. La petite fille s'appellera donc Simon et sera élevée comme si elle était un petit garçon. Quelques années plus tard, le père découvre la supercherie. Furieux d'avoir été ainsi berné, il abandonne sa fille dans la forêt, comptant sur le loup pour la manger. Le loup entre en scène, mais c'est un loup philosophe... Profondément scandalisé par l'attitude du père, il décide, accompagné de la petite fille, de lui donner une bonne leçon.

Retrouvez sur la scène de la Comédie de Saint-Etienne : Nathalie Matter (Simon), Louis Bonnet (le père de Simon), Stéphane Piveteau (la mère de Simon), dans une pièce écrite et mise en scène par Elsa Imbert à destination des enfants...

Accompagnés de leurs parents !

La Comédie de Saint-Etienne

La Comédie de Saint-Étienne est un théâtre fondé à Saint-Étienne en 1947, sous l’impulsion de Jeanne Laurent et Jean Dasté, et devenu l’un des tout premiers Centres dramatiques nationaux de France.

D’abord installée à Grenoble, la troupe de Jean Dasté, subventionnée par l’État, joue à partir de 1945 dans les usines pour toucher le public populaire, mais doit s’implanter à Saint-Étienne face aux résistances locales. Cette compagnie sera donc le point de départ du second centre dramatique national français.

Par la volonté de Daniel Benoin, La Comédie se dote en 1982 de l’École de la Comédie de Saint-Étienne, qui dispense sur trois ans une formation de comédien.

La Comédie de Saint-Étienne est pourvue de trois salles de spectacle :

  • le Théâtre Jean Dasté (700 places)
  • L’Usine (120 places)
  • le Théâtre René Lesage (49 places)

la salle Marie-Hélène Dasté, une salle habituellement de répétition, qui peut servir pour des présentations ponctuelles (jauge réduite)

Elle est aujourd'hui destinée à déménager dans de nouveaux locaux situés Plaine Achille, dans une ancienne friche industrielle réhabilitée.

  • 7, avenue Émile Loubet - 42048 Saint-Étienne cedex 1
  • web

Elsa Imbert

Elle débute sa formation par l’apprentissage du théâtre baroque auprès du metteur en scène Eugène Green. Après un an passé aux ateliers du Sapajou, elle joue la pièce Croisades de Michel Azama dans une mise en scène d’Arnaud Meunier (Avignon 98). Elle retrouve ce metteur en scène en 2005 et travaille avec la compagnie de la Mauvaise Graine, puis au sein de l’Ensemble artistique de La Comédie de Saint- Étienne. Elle joue notamment dans : 11 septembre 2001 de Michel Vinaver représenté au Théâtre de la Ville (Paris) en septembre 2011, Tori no tobu takasa / Par-dessus bord créé au Japon au printemps 2009 et repris en France au Théâtre de la Ville – Les Abbesses et en tournée, En quête de bonheur joué à la Maison de la Poésie à l’automne 2008, Gens de Séoul d’Oriza Hirata représenté au Théâtre national de Chaillot en octobre 2006. Elle joue également dans La la la, un opéra en chansons dirigé par Geoffroy Jourdain, mis en scène par Benjamin Lazar (Théâtre de Suresnes, Opéra Comique), dans Albert 1er, une pièce de Philippe Adrien mise en scène par Thomas Derichebourg (Théâtre de la Tempête) et dans Les Bonnes de Jean Genet (Avignon 2004, Paris) dans une mise en scène d’Antoine Campo. Côté mise en scène, elle travaille aux côtés de Benjamin Lazar sur la mise en scène d’Egisto de Cavalli dirigé par Vincent Dumestre du Poème Harmonique (Opéra Comique) et aux côtés d’Arnaud Meunier sur L’Enfant et les Sortilèges de Ravel et Colette, dans une version de chambre écrite et dirigée par Didier Puntos pour le festival d’Art lyrique d’Aix-en-Provence. Elle a auparavant assisté Antoine Campo sur plusieurs opéras pour enfants dont Le Roi de Papier de Bernard Ucla et Guy Reibel, La lune n’a jamais froid aux pieds de Michel Zbar, ou encore Le Gendarme incompris de Cocteau, Radiguet et Poulenc, et Histoire du Soldat de Stravinsky et Ramuz (Athénée Théâtre Louis-­Jouvet).

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